Comment une de mes bonnes affaires sur Rue Du Commerce tourne au cauchemar !

Carton rouge pour Rue Du Commerce !

Autrefois l’un des cybermarchands français dominants, le site aux couleurs bleue et verte, désormais sous la chape de Carrefour (à priori revendu depuis fin 2019 à ShopInvest), a toutefois cédé, au fil des années, sa place de leader à des mastodontes comme Amazon ou Cdiscount sur le marché tricolore.

Il n’en demeure pas moins qu’à titre occasionnel, on peut y dénicher de bonnes affaires, comme ce PC portable Dell Latitude E7240 d’occasion à seulement 180 €.

A la base une bonne affaire, je vais vous conter au travers de cet article comment la gestion de cette commande par Rue Du Commerce a petit à petit tourné au cauchemar, et m’a fait en fait perdre un paquet de sous. Et comment le cybermarchand ne risque désormais plus de regagner ma confiance de sitôt.

Tout d’abord, si le PC portable offrait en réalité des performances exceptionnelles par rapport au prix investi, j’en ai en revanche profité pour lui acheter séparément une barrette mémoire supplémentaire, ainsi qu’une nouvelle batterie, celle embarquée étant en fin de vie, avec une très courte autonomie ! Un excédent d’investissement pour un total d’environ 80 €.

6 mois plus tard, vers juin, le PC portable commence à montrer des défauts au niveau de son écran, qui de surcroît, bonne surprise, était tactile !

Commencent par apparaître des bulles de colle sous le capot en verre, sur l’extrémité haute de l’écran, puis survient un problème de bande violette verticale sur l’affichage, qui disparaît simplement en appuyant un peu fort sur la dalle. A priori, le problème serait donc lié à un décollement intérieur de celle-ci, mais la bécane restait largement utilisable.

Ni une ni deux, je renvoie donc le PC encore sous garantie à Rue Du Commerce.

2 semaines plus tard, quelle ne fût ma stupeur que d’apprendre que Rue Du Commerce avait simplement émis un bon d’achat correspondant au montant de ma commande…

J’ai par la suite pris contact avec eux en insistant sur le fait que je souhaitais récupérer le matériel, d’autant plus que j’avais investi dans les composants supplémentaires. Cela m’a nonchalamment été refusé par Rue Du Commerce, sous prétexte que le fabricant avait récupéré le matériel et l’avait déclaré non réparable, et qu’il n’y avait plus aucune solution pour le récupérer une fois cette étape franchie.

Depuis cet échange courant juillet, j’ai demandé à Rue Du Commerce de me rembourser la commande au lieu de m’attribuer un bon d’achat. Celui-ci a donc été neutralisé dans la foulée, mais aucun remboursement n’a suivi.

Après avoir appuyé ma demande sur les réseaux sociaux (Twitter essentiellement), je reçois le 13 août un mail me disant que le remboursement n’est pas passé sur PayPal (une première !), et qu’on a besoin de mon RIB pour me rembourser. J’envoie le RIB dans la foulée.

Depuis, j’ai multiplié les échanges avec Rue Du Commerce par téléphone et sur les réseaux sociaux, dans l’espoir de percevoir ce remboursement. En vain… à chaque fois, le groupe joue la montre et me demande de prendre mon mal en patience, comme vous pouvez vous en apercevoir ci-dessous.

Je décide donc, en désespoir de cause, de leur envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception de mise en demeure, début septembre.

Quelques jours plus tard, je reçois un mail, avec le nom d’une autre personne, disant la chose suivante :

Monsieur XXX [Pas moi],

J’accuse réception de votre réclamation et je suis navrée pour cette situation.

Je vous confirme que votre demande d’annulation a bien été prise en compte.

Le remboursement a bien été activé, cependant nous accusons un lourd retard au service comptabilité, je le regrette.

Dès que la carte ayant servi au paiement sera créditée vous serez avisé par mail.

Je reste à votre disposition par retour de mail.

Dans cette attente, je vous remercie de votre compréhension.

Donc d’une part, Rue Du Commerce n’a pas l’air d’avoir retenu que le remboursement carte n’avait pas fonctionné, ce qui commence à me faire douter de leur sincérité.

D’autre part, j’ai l’impression que je ne suis pas le seul client lésé, et cela me laisse à penser que Rue Du Commerce joue la montre sur le remboursement de ses clients, probablement, bien que cela soit le fruit de mon imagination, pour des raisons financières liées à la période que nous vivons en ce moment.

Au final, à défaut d’avoir fait une bonne affaire, j’aurai perdu au total 240 € à cause de Rue Du Commerce, et de son attitude peu encline à trouver des solutions et dans l’esquive permanente. Une attitude que je regrette, qui ne redore pas l’image de ce cybermarchand à mes yeux, et dont j’aurai tenu à m’indigner.

A l’heure où j’écris ces lignes, j’envisage d’entreprendre des poursuites à l’encontre du groupe.

La seule bonne nouvelle, c’est que dans l’attente, j’ai pu jeter mon dévolu sur un autre PC portable d’occasion, un Lenovo Thinkpad X270 acheté 300 € sur Trade Discount, certes, un peu plus cher, mais qui est une pure merveille ! J’en ferai peut-être un article à part.

Et vous ? Avez-vous un problème similaire avec un cybermarchand actuellement ?

Au final, après un signalement à la DGCCRF sur SignalConso (et sans savoir s’il y a une dépendance avec cet évènement), RDC s’est enfin résigné à me rembourser le prix du portable et sa livraison le 8 septembre, mais ne m’a pas remboursé le prix du courrier LRAR comme demandé dans ce dernier. C’est mieux que rien, mais c’est dommage qu’il ait fallu pratiquement 2 mois au groupe pour me rembourser !

Cet article est paru en premier sur Chartouni.fr

Que vaut une Android TV générique : Test de la Vontar X88 Pro

Pendant mon séjour l’année dernière en Malaisie, j’ai profité de ma proximité avec la Chine pour craquer pour cette Android TV générique chinoise en promotion Dealabs, pour une quarantaine d’euros, frais de port (vers la Malaisie) compris.

Bien qu’elle s’appelait à l’époque Vontar TV X88 Pro, on la trouve régulièrement sous une nouvelle marque, Turewell par exemple sur Amazon.

Ce type d’appareil est censé offrir le confort de pouvoir bénéficier d’un système Android sur sa télévision (quand celle-ci n’en intègre pas déjà un), pour, en théorie, pouvoir surfer sur le web, diffuser de la musique avec Deezer ou Spotify, consulter Youtube, ouvrir certaines applications Android comme des jeux, mais surtout, pouvoir visionner ses séries Netflix et la TV lorsqu’on possède une application le permettant (Molotov, TV Orange, MyTF1…etc.).

Au delà de cet usage, elle sert surtout, avec une application adéquate, à diffuser depuis un PC connecté au même réseau local, du contenu multimédia, notamment des vidéos.

Si je fais abstraction du surf, peu pratique avec la télécommande permettant de déplacer le curseur comme une baguette magique, le reste fonctionne dans l’ensemble plutôt bien.

Durant les premiers mois suivant son acquisition, le boitier a pu bénéficier de mises à jour fréquentes, permettant de corriger ça et là quelques instabilités. Cependant, ce plaisir s’est vite interrompu un an plus tard !

Le principal usage que j’en aie fait, c’est de visionner la télé française avec les applis sus-citées en Malaisie, ce qui m’a notamment permis de suivre la Coupe du Monde de Rugby !

Et même si les éditeurs font en général chier avec des restrictions géographiques qui n’ont pas le moindre sens, mon appli VPN préférée, compatible, m’a permis de contourner ce problème.

Quant au visionnage de vidéos depuis le PC, il faut utiliser l’appli native appelée AirPIN(PRO), dont il existe un logiciel éponyme pour Windows (de l’éditeur WaxRain).

Mauvaise surprise : au bout de 2 mois d’utilisation, l’appli bascule en version limitée, et il faut débourser 5 € pour pouvoir continuer à en jouir ! Un comble !

Même si ce logiciel est plutôt de bonne facture, il lui arrive de temps en temps de ne pas savoir lire le son de certaines vidéos (environ 20 % du temps). Dommage…

Pire encore : A l’heure où j’écris ces lignes, le site hébergeant l’application AirPIN(PRO) pour Windows est hors ligne, et l’exécutable est introuvable ailleurs sur le web…

Cela semble mettre le doigt sur le problème principal de ce type d’appareil : son obsolescence logicielle programmée ; au bout d’un an, plus de mises à jour et plus de possibilité de télécharger les outils lui permettant de fonctionner, ce qui oblige à repasser à la caisse pour un autre modèle.

Dernier défaut : lorsqu’on insère une clé USB et qu’on la laisse un certain temps, celle-ci devient littéralement brûlante (on peut se brûler les doigts en la retirant !). Pas très rassurant sur la qualité du produit…

Ce que je retiens donc de ce type d’appareil, c’est qu’il fait l’affaire pour la plupart des usages, pourvu qu’on soit un minimum technicien et parfois patient (exemples : il est parfois nécessaire de savoir vider le cache des applis ou de les Force Close).

Mais cet appareil ne peut réellement servir que pour dépanner le temps d’un ou deux voyages en vacances, au vu du manque de pérennité qu’il semble exposer.

La prochaine fois, je lui préfèrerai donc un matériel plus haut de gamme, comme la célèbre Xiaomi MiBox TV, par exemple.

Note: 3/5

Avantages
Inconvénients

+ Le prix
+ La compatibilité avec la plupart des applis Android dont j’ai eu besoin

– L’appli AirPIN(PRO) payante
– L’obsolescence logicielle programmée / l’intérêt sur le court terme seulement
– La surchauffe des clés USB
– Les quelques bugs qui peuvent facilement rebuter les néophytes (applis qui crashent, ralentissements…etc.)

 

 

L’écologie : cet effet de mode planétaire « minable » et « abrutissant » !

Dieu sait à quel point je déteste les effets de mode. Dieu sait à quel point je trouve que les êtres humains qui m’entourent ne sont que des moutons de Panurge, qui pensent qu’ils doivent penser comme pensent 6 personnes sur 10 de leur entourage.

Ca commence toujours par une opinion partagée tout d’abord par 1 ou 2 personnes sur 10, puis ça fait effet boule de neige ; les médias nous martèlent. Les réseaux sociaux nous submergent de vagues de news sur le sujet. Les politiques s’en emparent pour « récupérer ». 3 sur 10, 4 sur 10, 5 sur 10… 6 sur 10. Trop tard ! Les 3 ou 4 derniers savent maintenant ce que pense la majorité. Plus le choix. Il faut suivre. Peu importe que ça ait du sens ou non.

Pourquoi nous comportons-nous ainsi ? Tout simplement par peur du rejet ; rares sont les anticonformistes qui osent émettre publiquement des idées sortant des sentiers battus, de peur de devenir impopulaires, de se faire rejeter par leur société, ou de se faire lyncher sur les réseaux sociaux…

Meilleur exemple en date ? L’écologie. La sacro-sainte écologie. Cet effet de mode virulent, devenu source de divers courants sectaires, tous aussi débiles les uns que les autres : l’obsession du zéro carbone, l’absurdité du recyclage, la folie furieuse du véganisme, le terrorisme intellectuel de l’anti-voiture et l’obnubilation aveugle de la démocratisation du vélo ne constituent qu’une partie de la liste.

Une morale anti-constructive

Si la promesse de ces courants est avant-tout de sauver notre planète pour y vivre mieux, force est de constater que sur le court terme, c’est plutôt l’inverse qui se profile : nous n’avons désormais plus le droit de prendre l’avion sans se faire taxer de pollueur.

Nous ne pouvons plus côtoyer un cycliste en ville en voiture sans se faire traiter d’extra-terrestre par ce dernier, fier de ses soi-disant efforts pour un air plus sain, assis à califourchon sur son manche à balai, habillé en plongeur, avec un attirail ridicule sur la tête. Sans parler de cet athlète de cirque filant à 50 Km/h à cloche-pied sur une trottinette électrique, qui ne paie rien pour attendre la facture salée d’hôpital (la sienne ou celle des autres, d’ailleurs) pour économiser de l’essence…

Nous ne pouvons plus jouir de sacs en plastique au supermarché pour se trimbaler ses courses. Un geste pourtant anodin dans les plus belles années de notre planète, le début des années 2000.

Nous ne pouvons plus manger de viande sans se faire traiter d’assassin d’animaux, par ces joyeux lurons anorexiques, heureux de manger du gratin d’aubergine et de betterave au petit-déjeuner.

Nous ne pouvons plus porter de fourrures, acheter de véhicule diesel, conduire dans Paris, ou faire un bain moussant sans être le diable.

Et ça n’évolue pas dans le bon sens : aux dernières nouvelles, nos politiciens français redoublent d’ingéniosité pour courtiser Greta Thunberg, soi-disant déléguée de la nouvelle génération ; au programme ? 110 Km/h sur l’autoroute (pour donner une idée aux étrangers, cela correspond à la vitesse à laquelle vous avez l’impression d’être en train de pousser votre voiture sur une autoroute française !), 30 Km/h dans les centre ville, et interdiction des terrasses chauffées. Comme quoi, l’écologie, c’est abrutissant au sens propre. Et encore, je suis poli !

Bref, la liberté de vivre, c’est du passé !

Et pendant ce temps…

Et pendant ce temps, ces ectoplasmes d’ahuris continuent pour la plupart à faire des gosses, comme si de rien n’était.

Ils ont beau demander au voisin de ne plus arroser ses plantes au balcon pour économiser l’eau alors que de petits africains meurent de soif, ça ne les gêne pourtant pas de procréer cette « chose », que moi, soucieux des ressources limitées de notre planète, je qualifierais d' »immonde », qui se développera de sorte à consommer 148 Litres par jour de plus (source semea.fr), 35 tonnes de nourriture dans sa vie en moyenne (source express.co.uk), 562 500 Kwh (signatureelectric.ca), et voyagera 53 million de miles (usatoday.com), alors qu’elle aurait aussi bien pu tout bonnement ne pas exister… et nous épargner ce gachis gargantuesque. Moralité de l’histoire : avant de critiquer les autres, on a intérêt à avoir le c*l propre !

Roulés dans la farine !

Vivre mieux ? Et Montcuq, c’est du poulet !

En fait, la promesse qui se cache derrière ce mouvement écolo, ce n’est pas une meilleure vie pour vous ; c’est une soi-disant meilleure vie pour nos enfants. Pardon : pour vos enfants ! 

Oui ! Parce que moi, qui estime pratiquer la seule forme d’écologie « légitime » en faisant surtout l’effort insurmontable de ne rien faire, soit l’effort de préserver mon petit confort en ne faisant pas de gosse, je fournis l’effort de ne bouffer ma planète qu’à un seul dentier au lieu des 5 de vous et de vos 4 progénitures grassement nourries par mes impôts !

Et non seulement ça, mais je dois en plus arrêter de voyager, arrêter de conduire, arrêter de m’habiller comme je veux, arrêter de bouffer du hamburger, arrêter de me faire couler des bains moussants et bientôt me torcher le c*l avec la main pour économiser du PQ et ainsi sauver l’amazonie, pour que vos enfants, eux, tout le temps dans mes pattes ou à faire du bruit pendant que je veuille me reposer en vacances sur ma plage ou faire la grâce matinée, puissent avoir un monde meilleur pour eux… disons qu’en voulant le beurre et l’argent du beurre, vous n’êtes, pour le moins, pas très motivant, sans dire que votre raisonnement est totalement inéquitable et dénué de bon sens.

Le « ferme ta gueule et paie », d’un côté de la poche, de l’autre, en restreignant mon confort et mes libertés, ça ne prend pour le moins pas avec moi ! Bref, nous n’avons, une fois n’est pas coutume, rien compris !

Sauver la planète, oui, préserver la nature, oui, mais ce n’est pas en légiférant sur l’encadrement de la consommation, qui en réalité est une atteinte aux libertés individuelles, qu’on s’y prend bien ! C’est en légiférant sur la procréation !

Faire un bon geste pour la planète… voter égoïste !

Je ne voterai pas pour les écolos en pensant à mes enfants (ou plutôt, à ceux des autres).

Je voterai contre les écolos pour que la planète soit pour moi. Pour que je conserve ma liberté de polluer, de manger de la viande, et de respirer et de ch*er sans me faire engueuler parce que j’ai inspiré trop d’air ou tiré la chasse !

Je voterai pour le parti qui me dira « Sus à l’écologie minable, faites place nette à l’écologie légitime, l’écologie du foyer à deux personnes » !

Apprenez à vivre pour vous-mêmes ; rien ne garantit l’avenir de vos enfants, certainement pas moi ! Si vous en avez, c’est trop tard pour faire marche arrière ! Mais de grâce : arrêtez d’en faire !

Le monde et l’écologie dont je rêve

Je rêve d’une France où je pourrai rouler à 200 Km/h sur autoroute, et où chacun peut rouler à la vitesse qu’il désire entre 80 et 200 Km/h en fonction de son goût du risque et de combien il est pressé. 

Je rêve d’un Paris où on abatte les immeubles pour fabriquer des chaussées, d’un périphérique parisien à trois étages, et où l’essor des voitures, électriques ou pas d’ailleurs, permettra à tout un chacun de se déplacer convenablement et avec confort, vitesse et bon sens.

Je rêve d’un monde où celui qui trouve tout et n’importe quoi comme mesure bidon de restrictions routières, sous le sacro-saint prétexte de vouloir baisser la mortalité sur les routes, se voie rétorquer que la mortalité sur les routes c’est triste, mais que ça aide à contribuer à la survie de notre espèce.

Je rêve d’un monde où je peux manger de la viande à 3 repas par jour si je le souhaite, tandis que les végétariens et autres vegans pratiquent leur véganisme tous seuls dans leur coin, sans que la promotion de ce comportement ne soit faite dans les médias et sur les réseaux sociaux.

Je rêve d’un monde où je fous tous mes déchets dans la même poubelle et on se démerde avec, et où je ne sois pas contraint dans 2 ans à me torcher le c*l avec la main pour soi-disant économiser du papier et sauver des arbres.

Je rêve d’un monde où je prends l’avion si je veux, même pour un court trajet, sans qu’on ne me taxe de fascho « répollutionnaire ».

Ce monde a existé ; ce monde, c’est les années 2000. Et il serait grand temps qu’il revienne. Comment ? 

Je rêve d’un monde où chacun d’entre nous puisse consommer comme un américain, sans que cela ne pose de risque de pénuerie sur les ressources de notre planète, ou de risque de dégradation de notre environnement, car nous serions suffisamment peu nombreux sur Terre pour se le permettre.

Il suffit en effet de consulter le site worldometers.info pour en avoir le vertige ; le nombre d’êtres humains sur Terre croît en moyenne de 175 000 par jour ! Et même si l’augmentation n’est pas uniforme au sein des différentes communautés du monde, il n’en reste pas moins une folie suicidaire !

Et pour remédier à cela, je rêve d’un monde où chaque être humain n’a droit qu’à un enfant, et d’un monde où au delà, chaque enfant est exponentiellement surtaxé fiscalement.

Je rêve d’un monde où ce sont les gens qui font plusieurs enfants qui soient culpabilisées pour un acte qui doit être considéré comme non seulement odieux pour le bien-être commun et celui de la planète, mais aussi un acte d’un égoïsme sans équivalent, qui consiste à réquisitionner la portion des ressources terrestres d’autrui pour « soi-même » !

Je rêve d’un monde où il soit de nouveau possible de travailler ou de se reposer dans un lieu public ou un moyen de transport en commun sans être envahi par les égosillements de ces innombrables progénitures qui nous entourent désormais, et dont l’existence ne peut que contribuer à l’empirement de ce scénario au fur et à mesure des décennies qui s’écoulent.

Et enfin, je rêve d’un monde où la procréation soit sévèrement encadrée, notamment par la surtaxe et la privation de ressources pour responsabiliser les gens qui ont fait abus de ce droit. Ainsi, les premiers à succomber à la pauvreté seraient ceux ayant abusé de ce droit à la procréation, au delà de ce qu’ils peuvent se permettre, ce qui contribuerait naturellement à réguler la démographie terrestre, de la façon la plus juste et la plus logique qui soit. C’est ce que j’appelle la « justice démographique », qui passe par la responsabilisation individuelle.

Hélas, je ne vis pas dans ce monde, et ce n’est pas demain la veille qu’une solution aussi efficace, néanmoins aussi taboue, verra le jour, car elle ne permettra à aucun politicien d’être réélu avec un tel programme tant que la bienpensance commune aura peur d’oser l’anticonformisme réaliste. Donc comme je l’ai dit à juste titre… je rêve ! 

L’humanité court donc indéniablement à sa perte tant que les êtres humains n’auront pas compris que la seule véritable écologie légitime est la régulation militaire et méticuleuse de la procréation humaine.

Mais bon, comme je parle encore au mur, tant pis pour nous, pour vous, et pour vos enfants ! On va tous y passer ensemble ! Si j’avais eu le pouvoir de changer le monde, il serait sûrement… pour le moins… différent. C’est peut-être pour ça que j’ai laissé tomber l’idée.

Et vous ? Quelle est votre vision de l’écologie ? 

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