L’écologie : cet effet de mode planétaire « minable » et « abrutissant » !

Dieu sait à quel point je déteste les effets de mode. Dieu sait à quel point je trouve que les êtres humains qui m’entourent ne sont que des moutons de Panurge, qui pensent qu’ils doivent penser comme pensent 6 personnes sur 10 de leur entourage.

Ca commence toujours par une opinion partagée tout d’abord par 1 ou 2 personnes sur 10, puis ça fait effet boule de neige ; les médias nous martèlent. Les réseaux sociaux nous submergent de vagues de news sur le sujet. Les politiques s’en emparent pour « récupérer ». 3 sur 10, 4 sur 10, 5 sur 10… 6 sur 10. Trop tard ! Les 3 ou 4 derniers savent maintenant ce que pense la majorité. Plus le choix. Il faut suivre. Peu importe que ça ait du sens ou non.

Pourquoi nous comportons-nous ainsi ? Tout simplement par peur du rejet ; rares sont les anticonformistes qui osent émettre publiquement des idées sortant des sentiers battus, de peur de devenir impopulaires, de se faire rejeter par leur société, ou de se faire lyncher sur les réseaux sociaux…

Meilleur exemple en date ? L’écologie. La sacro-sainte écologie. Cet effet de mode virulent, devenu source de divers courants sectaires, tous aussi débiles les uns que les autres : l’obsession du zéro carbone, l’absurdité du recyclage, la folie furieuse du véganisme, le terrorisme intellectuel de l’anti-voiture et l’obnubilation aveugle de la démocratisation du vélo ne constituent qu’une partie de la liste.

Une morale anti-constructive

Si la promesse de ces courants est avant-tout de sauver notre planète pour y vivre mieux, force est de constater que sur le court terme, c’est plutôt l’inverse qui se profile : nous n’avons désormais plus le droit de prendre l’avion sans se faire taxer de pollueur.

Nous ne pouvons plus côtoyer un cycliste en ville en voiture sans se faire traiter d’extra-terrestre par ce dernier, fier de ses soi-disant efforts pour un air plus sain, assis à califourchon sur son manche à balai, habillé en plongeur, avec un attirail ridicule sur la tête. Sans parler de cet athlète de cirque filant à 50 Km/h à cloche-pied sur une trottinette électrique, qui ne paie rien pour attendre la facture salée d’hôpital (la sienne ou celle des autres, d’ailleurs) pour économiser de l’essence…

Nous ne pouvons plus jouir de sacs en plastique au supermarché pour se trimbaler ses courses. Un geste pourtant anodin dans les plus belles années de notre planète, le début des années 2000.

Nous ne pouvons plus manger de viande sans se faire traiter d’assassin d’animaux, par ces joyeux lurons anorexiques, heureux de manger du gratin d’aubergine et de betterave au petit-déjeuner.

Nous ne pouvons plus porter de fourrures, acheter de véhicule diesel, conduire dans Paris, ou faire un bain moussant sans être le diable.

Et ça n’évolue pas dans le bon sens : aux dernières nouvelles, nos politiciens français redoublent d’ingéniosité pour courtiser Greta Thunberg, soi-disant déléguée de la nouvelle génération ; au programme ? 110 Km/h sur l’autoroute (pour donner une idée aux étrangers, cela correspond à la vitesse à laquelle vous avez l’impression d’être en train de pousser votre voiture sur une autoroute française !), 30 Km/h dans les centre ville, et interdiction des terrasses chauffées. Comme quoi, l’écologie, c’est abrutissant au sens propre. Et encore, je suis poli !

Bref, la liberté de vivre, c’est du passé !

Et pendant ce temps…

Et pendant ce temps, ces ectoplasmes d’ahuris continuent pour la plupart à faire des gosses, comme si de rien n’était.

Ils ont beau demander au voisin de ne plus arroser ses plantes au balcon pour économiser l’eau alors que de petits africains meurent de soif, ça ne les gêne pourtant pas de procréer cette « chose », que moi, soucieux des ressources limitées de notre planète, je qualifierais d' »immonde », qui se développera de sorte à consommer 148 Litres par jour de plus (source semea.fr), 35 tonnes de nourriture dans sa vie en moyenne (source express.co.uk), 562 500 Kwh (signatureelectric.ca), et voyagera 53 million de miles (usatoday.com), alors qu’elle aurait aussi bien pu tout bonnement ne pas exister… et nous épargner ce gachis gargantuesque. Moralité de l’histoire : avant de critiquer les autres, on a intérêt à avoir le c*l propre !

Roulés dans la farine !

Vivre mieux ? Et Montcuq, c’est du poulet !

En fait, la promesse qui se cache derrière ce mouvement écolo, ce n’est pas une meilleure vie pour vous ; c’est une soi-disant meilleure vie pour nos enfants. Pardon : pour vos enfants ! 

Oui ! Parce que moi, qui estime pratiquer la seule forme d’écologie « légitime » en faisant surtout l’effort insurmontable de ne rien faire, soit l’effort de préserver mon petit confort en ne faisant pas de gosse, je fournis l’effort de ne bouffer ma planète qu’à un seul dentier au lieu des 5 de vous et de vos 4 progénitures grassement nourries par mes impôts !

Et non seulement ça, mais je dois en plus arrêter de voyager, arrêter de conduire, arrêter de m’habiller comme je veux, arrêter de bouffer du hamburger, arrêter de me faire couler des bains moussants et bientôt me torcher le c*l avec la main pour économiser du PQ et ainsi sauver l’amazonie, pour que vos enfants, eux, tout le temps dans mes pattes ou à faire du bruit pendant que je veuille me reposer en vacances sur ma plage ou faire la grâce matinée, puissent avoir un monde meilleur pour eux… disons qu’en voulant le beurre et l’argent du beurre, vous n’êtes, pour le moins, pas très motivant, sans dire que votre raisonnement est totalement inéquitable et dénué de bon sens.

Le « ferme ta gueule et paie », d’un côté de la poche, de l’autre, en restreignant mon confort et mes libertés, ça ne prend pour le moins pas avec moi ! Bref, nous n’avons, une fois n’est pas coutume, rien compris !

Sauver la planète, oui, préserver la nature, oui, mais ce n’est pas en légiférant sur l’encadrement de la consommation, qui en réalité est une atteinte aux libertés individuelles, qu’on s’y prend bien ! C’est en légiférant sur la procréation !

Faire un bon geste pour la planète… voter égoïste !

Je ne voterai pas pour les écolos en pensant à mes enfants (ou plutôt, à ceux des autres).

Je voterai contre les écolos pour que la planète soit pour moi. Pour que je conserve ma liberté de polluer, de manger de la viande, et de respirer et de ch*er sans me faire engueuler parce que j’ai inspiré trop d’air ou tiré la chasse !

Je voterai pour le parti qui me dira « Sus à l’écologie minable, faites place nette à l’écologie légitime, l’écologie du foyer à deux personnes » !

Apprenez à vivre pour vous-mêmes ; rien ne garantit l’avenir de vos enfants, certainement pas moi ! Si vous en avez, c’est trop tard pour faire marche arrière ! Mais de grâce : arrêtez d’en faire !

Le monde et l’écologie dont je rêve

Je rêve d’une France où je pourrai rouler à 200 Km/h sur autoroute, et où chacun peut rouler à la vitesse qu’il désire entre 80 et 200 Km/h en fonction de son goût du risque et de combien il est pressé. 

Je rêve d’un Paris où on abatte les immeubles pour fabriquer des chaussées, d’un périphérique parisien à trois étages, et où l’essor des voitures, électriques ou pas d’ailleurs, permettra à tout un chacun de se déplacer convenablement et avec confort, vitesse et bon sens.

Je rêve d’un monde où celui qui trouve tout et n’importe quoi comme mesure bidon de restrictions routières, sous le sacro-saint prétexte de vouloir baisser la mortalité sur les routes, se voie rétorquer que la mortalité sur les routes c’est triste, mais que ça aide à contribuer à la survie de notre espèce.

Je rêve d’un monde où je peux manger de la viande à 3 repas par jour si je le souhaite, tandis que les végétariens et autres vegans pratiquent leur véganisme tous seuls dans leur coin, sans que la promotion de ce comportement ne soit faite dans les médias et sur les réseaux sociaux.

Je rêve d’un monde où je fous tous mes déchets dans la même poubelle et on se démerde avec, et où je ne sois pas contraint dans 2 ans à me torcher le c*l avec la main pour soi-disant économiser du papier et sauver des arbres.

Je rêve d’un monde où je prends l’avion si je veux, même pour un court trajet, sans qu’on ne me taxe de fascho « répollutionnaire ».

Ce monde a existé ; ce monde, c’est les années 2000. Et il serait grand temps qu’il revienne. Comment ? 

Je rêve d’un monde où chacun d’entre nous puisse consommer comme un américain, sans que cela ne pose de risque de pénuerie sur les ressources de notre planète, ou de risque de dégradation de notre environnement, car nous serions suffisamment peu nombreux sur Terre pour se le permettre.

Il suffit en effet de consulter le site worldometers.info pour en avoir le vertige ; le nombre d’êtres humains sur Terre croît en moyenne de 175 000 par jour ! Et même si l’augmentation n’est pas uniforme au sein des différentes communautés du monde, il n’en reste pas moins une folie suicidaire !

Et pour remédier à cela, je rêve d’un monde où chaque être humain n’a droit qu’à un enfant, et d’un monde où au delà, chaque enfant est exponentiellement surtaxé fiscalement.

Je rêve d’un monde où ce sont les gens qui font plusieurs enfants qui soient culpabilisées pour un acte qui doit être considéré comme non seulement odieux pour le bien-être commun et celui de la planète, mais aussi un acte d’un égoïsme sans équivalent, qui consiste à réquisitionner la portion des ressources terrestres d’autrui pour « soi-même » !

Je rêve d’un monde où il soit de nouveau possible de travailler ou de se reposer dans un lieu public ou un moyen de transport en commun sans être envahi par les égosillements de ces innombrables progénitures qui nous entourent désormais, et dont l’existence ne peut que contribuer à l’empirement de ce scénario au fur et à mesure des décennies qui s’écoulent.

Et enfin, je rêve d’un monde où la procréation soit sévèrement encadrée, notamment par la surtaxe et la privation de ressources pour responsabiliser les gens qui ont fait abus de ce droit. Ainsi, les premiers à succomber à la pauvreté seraient ceux ayant abusé de ce droit à la procréation, au delà de ce qu’ils peuvent se permettre, ce qui contribuerait naturellement à réguler la démographie terrestre, de la façon la plus juste et la plus logique qui soit. C’est ce que j’appelle la « justice démographique », qui passe par la responsabilisation individuelle.

Hélas, je ne vis pas dans ce monde, et ce n’est pas demain la veille qu’une solution aussi efficace, néanmoins aussi taboue, verra le jour, car elle ne permettra à aucun politicien d’être réélu avec un tel programme tant que la bienpensance commune aura peur d’oser l’anticonformisme réaliste. Donc comme je l’ai dit à juste titre… je rêve ! 

L’humanité court donc indéniablement à sa perte tant que les êtres humains n’auront pas compris que la seule véritable écologie légitime est la régulation militaire et méticuleuse de la procréation humaine.

Mais bon, comme je parle encore au mur, tant pis pour nous, pour vous, et pour vos enfants ! On va tous y passer ensemble ! Si j’avais eu le pouvoir de changer le monde, il serait sûrement… pour le moins… différent. C’est peut-être pour ça que j’ai laissé tomber l’idée.

Et vous ? Quelle est votre vision de l’écologie ? 

Cet article est paru en premier sur Chartouni.fr

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