Windows 8 Consumer Preview: l’OS impossible à installer!



Mise à jour 3 du 12/03/2012 à 21h29: 2ème tentative échouée avec BSOD « Your PC needs to be repaired ». Restauration avec Acronis True Image Home 2012, toujours Windows 8 qui ne démarre pas en dual boot, je n’ai pas encore réussi à l’enlever! J’abandonne…

Mise à jour 2 du 12/03/2012 à 18h40: Voici ce à quoi aboutit l’installation de Windows 8 Consumer Preview par dessus Windows 7 (en me demandant au passage de désinstaller mon antivirus Kaspersky!):



Procédure suivie:
– Insertion du DVD de Windows 8 et tentative d’install depuis le DVD
– Celui-ci me demande de booter sous Windows 7 et de suivre les instructions
– Windows 8 me signale que certains logiciels seront incompatibles et me demande de les désinstaller (Kaspersky et Paragon Partition 11)
– Windows 8 redémarre sur le DVD (priorité boot sur le DVD dans mon BIOS) et m’affiche la procédure d’installation classique. A ce stade, nul moyen de savoir s’il faut continuer sur le DVD ou s’il faut rebooter sous Windows 7 pour finir l’installation. A l’intuition, j’opte pour la deuxième solution.
– Résultat: Un menu dual boot entre « Windows 7 Recovered » et « Windows 8 Consumer Preview ». Le deuxième fait rebooter la machine en boucle!
– Obligé de me rabattre sur le premier menu, il m’affiche la photo ci-dessus avant de démarrer Windows 7 normalement. Encore heureux!

C’est tellement beau le progrès chez Microsoft!

Mise à jour 1 du 06/03/2012: J’ai finalement réussi à l’installer sous la version payante de VMware, mais je pense l’installer en dual boot très prochainement pour en faire mon OS principal pendant quelques jours. Je vous livrerai mes impressions dès que possible sur cet OS.

Article original:

Microsoft a mis à disposition du grand public hier une version bêta appelée « Consumer Preview » de son prochain système d’exploitation Windows 8. Contrairement à la première, baptisée « Developers Preview » et réservée aux développeurs, cette nouvelle version, censée être plus stable, est destinée à Monsieur-Tout-Le-Monde, et doit permettre à Microsoft d’améliorer sa version finale en fonction des retours qu’elle recevra de la part des utilisateurs.

Bien que cette version soit habituellement la dernière avant la mise à disposition de la version RC (Release Candidate), très proche de la version commercialisée, installer sur sa machine cette Consumer Preview de Windows 8 relève du sacerdoce!

En effet, je ne prétends pas être la science infuse en informatique, mais je pense quand même m’y connaître assez pour savoir installer un OS sur une machine virtuelle (faute d’avoir une partition primaire libre, ce gourmand de Linux m’en ayant bouffé 3 sur 4 autorisées à lui seul – pour ceux qui savent de quoi je parle!).

Sous le logiciel VMware, impossible d’aboutir à quoi que ce soit: le setup tourne en boucle entre la première image (celle du poisson) et l’écran « Setup is starting »… puis la machine virtuelle reboote! Sur Internet, on rapporte que ce n’est même pas la peine d’essayer…

J’ai bataillé pendant 48 heures avec le logiciel Oracle VirtualBox (que tout le monde vénère haut et fort, et dont je dois pourtant reconnaître que l’utilité est très contestable, n’ayant jamais réussi à faire tourner quoi que ce soit correctement dessus!), et, après avoir glané et suivi plusieurs tutos sur le web, je n’ai réussi à afficher qu’un écran noir et un écran bleu avec la version 32 bits. Pas la peine d’essayer la version 64 bits, mon processeur, pourtant un Core 2 Quad relativement récent, ne gérant soi-disant pas la virtualisation en 64 bits (je me demande dans ce cas s’il existe bien un processeur qui le fasse!).



Sous VirtualBox, le mieux à espérer de cette version de Windows 8, au bout de 48 heures de galère, est ce superbe écran bleu aux couleurs du nouveau logo de l’OS.


Il faut quand même scruter les méandres du net pour comprendre qu’il faut activer certaines fonctions du processeur dans les menus (pénibles) de VirtualBox, ce qui nous mène désormais… à un écran noir!

Voilà pour le moment ce que Microsoft m’a permis de découvrir de son futur système d’exploitation. Certes, la firme m’a déjà déçu à de nombreuses reprises, mais jamais à ce point-là. Bref, pour un produit de l’ère post-PC, censé être fermé à la Apple avec son Windows Store (le futur équivalent de l’App Store sous Windows, par lequel seront obligés de passer les éditeurs pour mettre à disposition leur logiciel, qui devra donc passer par une présumée longue et fastidieuse validation par Microsoft!), sous prétexte de faire disparaître les bugs qu’on a tant connus sous PC, c’est raté comme argument commmercial en tout cas… et avec ça, on n’a encore rien vu!

HP TouchPad, la tablette mythique!



Petit résumé du « mythe » de la TouchPad…

Commercialisée en juillet 2011 au prix (à l’époque dans la moyenne pour une tablette tactile) de 399€ dans sa version 16 Go et 499€ dans sa version 32 Go, la HP TouchPad, sous l’OS maison de HP, webOS, né de l’acquisition de la société Palm par HP, avait du mal à trouver son public. A des prix quasi-similaires, les consommateurs préféraient acquérir une tablette avec un OS plus répandu, telles qu’une iPad (iOS) ou une tablette Android, entre autres en raison du nombre d’applications disponibles sur leur magasin virtuel, argument qui constitue souvent un point noir pour les nouveaux OS mobiles.

Il aurait certainement fallu attendre un bon bout de temps pour que webOS se fraye une place sur le marché des OS de tablettes, le temps que les développeurs daignent se lancer dans le développement d’applications intéressantes pour ce système. Mais pas plus d’un mois après la mise sur le marché de la tablette, soit en août 2011, le PDG d’HP de l’époque, Léo Apotheker, prend la décision d’abandonner le développement de webOS, et par extension, la maintenance de la tablette HP TouchPad.

Pour se débarasser des stocks, pourtant difficiles à écouler, HP décide de littéralement brader sa tablette, faisant fondre son prix à 99€ pour la version 16 Go, et 129€ pour la version 32 Go. Contrairement à toute attente, la tablette se forge rapidement une réputation de « très bonne affaire », au point que, partout dans le monde (où est commercialisée la tablette), les gens se ruent et s’entretuent pour mettre la main dessus! Les déçus arrivaient même à revendre la tablette à des particuliers jusqu’à deux fois son prix d’achat, du moins pendant les deux premières semaines de ce qu’on a appelé sur le web les « firesales ». A chaque fois qu’un magasin déclarait avoir un stock de TouchPad, des agents de sécurité et des files étaient organisées pour gérer l’affluence. A l’instar des Apple Store lors de la sortie d’un nouvel appareil, des personnes faisaient la queue devant les magasins plusieurs heures à l’avance, pour se garantir l’acquisition de la tablette (et n’y parvenaient pas toujours!).


Queue devant Surcouf pour l’achat de la TouchPad
Source de l’image

Pour ma part, après m’être battu becs et ongles pour acquérir cette tablette, j’ai eu la chance de réussir à mettre la main sur pas moins de 3 TouchPad, parfois sans le faire exprès: la première en acceptant une offre téléphonique de la Fnac, qui réservait à ses clients une TouchPad 32 Go à 135€ frais de port inclus, suite à l’annulation des commandes passées sur leur site le premier soir de la braderie. J’ai gagné la deuxième par tirage au sort sur Rue Du Commerce (que je remercie par l’occasion!). Enfin, j’ai acheté celle que j’ai fini par garder (offert la première et vendu la seconde) à l’occasion de l’ouverture du nouveau Auchan à Sarcelles, un véritable parcours du combattant qui a fait pas mal de bruit sur le net (et oui, c’était bien moi! 😉 ).

Belle bécane… en plastique!

Personnellement je l’ai trouvée design, la tablette de HP. Sa brillance, de dos comme de ventre, est un plaisir pour les yeux. En contrepartie, elle est très sensible aux traces de doigts. Ses composants en plastique ne donnent pas non-plus une impression de solidité (enfin, je n’ai pas testé…). Le design de son chargeur, cylindrique et à embout interchangeable pour s’en servir à l’étranger (plusieurs sont livrés, mais je ne saurais les reconnaître!) change de la concurrence. En revanche, il n’est pas facile de le brancher dans un endroit un peu étroit, comme derrière un meuble. C’est le câble USB de la TouchPad qui sert à la fois de chargeur et de branchement au PC (le chargeur a un port USB). J’ai apprécié l’attache en caoutchouc sur le câble USB qui permet de le ranger en accordéon. Si seulement les concurrents pouvaient s’en inspirer… 😉

La HP TouchPad est brillante de face et de dos

Toujours sur le plan hardware, si je salue la présence d’une caméra frontale (aux performances exécrables), je regrette l’absence de caméra dorsale, qui aurait sûrement été beaucoup plus utile, surtout vu le prix initial de la tablette. De plus, si le poids de la TouchPad reste à la limite du supportable seule, lui adjoindre une housse officielle HP la rend vraiment trop lourde pour une utilisation plus qu’occasionnelle! Pas facile de la trimbaler!

Bon point: les hauts-parleurs de la tablette offrent un son plus puissant que la Acer Iconia Tab et l’iPad 1. Autre bon point pour les accessoires utiles prévus par le fabricant comme un clavier bluetooth (assez bon marché) et surtout le TouchStone, un socle qui permet de recharger la tablette par induction, soit par simple contact avec le dos de la tablette (non testé, vendu séparément)! Pratique!


Accessoires officiels pour HP TouchPad
Source de l’image

WebOS, c’est là qu’est l’os…

C’est peut-être que pour avoir essayé pendant plusieurs mois iOS avec un iPad 1 et Android sur tablette, mon avis est un peu biaisé. Mais on peut aussi dire que je sais de quoi je parle, ça marche dans les deux sens. Et ce que je peux dire de webOS, pour l’avoir testé autant que les deux premiers, c’est que j’ai vraiment eu l’impression de me retrouver avec un OS deux fois plus design et plus ergonomique que ses deux concurrents, mais totalement épuré de fonctionnalités!

Malgré son système de « cartes » très bien foutu (les applications ouvertes s’affichent sous forme de miniatures rectangulaires triées comme des cartes sur le bureau, qu’il est possible de fermer d’un seul glissement de doigt vers le haut de l’écran, projetant ainsi la carte hors du bureau), webOS manque très (trop?) cruellement d’applications sur son HP Store. Je n’ai pas réussi à trouver d’application assez stable et conviviale de lecture de flux RSS (j’ai du payer cher l’application NeedForFeeds qui fonctionne très mal!), ni de dessin à la main style « Paint », ni de consultation de mon compte bancaire, ni d’équivalent à Google Maps, ni d’application de géolocalisation et services à proximité, ni de player universel pour les vidéos exotiques, ni même de jeux dignes de ce nom, hormis Angry Birds (qui n’existe que dans une seule version sur webOS, heureusement gratuite!). J’ai fort heureusement réussi à trouver un navigateur un peu meilleur que le natif (Advanced Browser) à petit prix, une application de bureautique (SmartOffice) et un logiciel de transfert de fichiers du PC à la TouchPad en wifi (Wifi Media Sync) qui coûtent chacun la peau des fesses, et un client webRadio gratuit, mais au final, je reste vraiment sur ma faim!

Sur Internet, il est conseillé d’installer le store Preware, en mettant la tablette en mode développeur (l’équivalent du jailbreak et du store officieux Cydia sur iOS, par exemple). Ce store alternatif permet d’appliquer des patchs à sa tablette pour modifier son système (modifier le navigateur par défaut, overclocker le processeur, modifier la taille des cartes…etc.) et dispose de quelques applications de plus que le store officiel. Mais personnellement, je n’ai toujours pas trouvé mon bonheur, ce dernier étant presque aussi pauvre que son homologue officiel! Dommage…


Logo de Preware

Heureusement que les applications natives marchent bien (navigateur, client mail, Facebook), hormis le client Skype qui est assez problématique (les contacts en ligne apparaissent souvent hors ligne), ce qui en fait une tablette qui assure le minimum vital, sans plus! Au final, j’ai clairement le sentiment que cette tablette ne mérite pas plus que son prix de déstockage!

Petite bizarrerie: Dans la boîte de l’exemplaire que j’ai acheté chez Auchan Sarelles le 9 novembre dernier, il manquait l’embout européen du chargeur. Ma lettre de réclamation à Auchan étant restée sans réponse, j’ai donc dû acheter un second chargeur séparément à 25€ pour mettre la main dessus!

Sauvée par Android!

Fort heureusement, le sauveur de cette tablette s’appelle… Android. La team Cyanogen, connue pour le développement de ROMs Android pour de nombreux appareils, épurées de toute surcouche ou fonctionnalité installée par le fabricant, s’est lancée dans le développement d’Android sur la HP TouchPad. La première version sous Android Gingerbread, nommée CyanogenMod 7, et récemment sa mise à jour vers Ice Cream Sandwitch, nommée CyanogenMod 9, offrent des performances épatantes, malgré leur appellation « alpha » (version de test précédant la bêta, c’est-à-dire censée être très instable). Avec Android dessus, la TouchPad peut enfin prétendre à concurrencer les tablettes de Google et d’Apple.

La procédure d’installation d’Android sur TouchPad est heureusement assez facile (sous réserve de bien suivre les instructions), est parfaitement réversible, et ne désinstalle pas webOS: les deux systèmes sont installés en parallèle sur la tablette, et l’utilisateur est invité à choisir l’OS de son choix au démarrage de la tablette.

Les bugs que j’ai rencontrés avec Android CM9 sur TouchPad sont les suivants:
– Le wifi « décroche » assez souvent lorsque l’écran reste éteint un bon moment. Il faut alors désactiver puis réactiver le wifi pour qu’il se remette à trouver les réseaux.
– En utilisant une app de webRadio (TuneIn Radio), le son devient exécrable quand l’écran de la tablette s’éteint.

Malgré ces bugs, le seul véritable intérêt que je trouve à la TouchPad aujourd’hui, est le fait d’avoir une tablette Android à bon prix… si vous arrivez à mettre la main dessus, vu sa rareté et sa convoitise, plus dus au buzz de ses « firesales » et à la satisfaction d’avoir réussi à mettre la main dessus qu’à autre chose, de mon point de vue!

NDLR: Mon dernier test de la TouchPad sous webOS date un peu. Si une mise à jour s’impose, surtout au niveau des apps pour webOS, merci de m’en faire part. L’article sera modifié si je constate l’amélioration de webOS avec le temps.

Note: 3/5

Avantages
Inconvénients
+ Le nouveau prix
+ Le design
+ Les accessoires innovants comme le TouchStone
+ Les hauts-parleurs puissants
+ La possibilité d’installer Android
– Son extrême rareté due à son arrêt de fabrication
– Les matériaux plastiques
– Le poids
– Le prix prohibitif des applications payantes du HP Store
– La pauvreté lamentable de webOS

Siège de geek: Homedics SBM-500H



Source de l’image: Pixmania.com


Les geeks ont tendance à entourer leur vie de beaucoup de matériel informatique ou high tech, dont ils se servent au quotidien à côté de leur incontournable PC. On les croise souvent dans les lieux publics accompagnés de tablettes tactiles, smartphones, baladeurs MP3 ou consoles de jeux, pour ne pas être complètement dépaysés (déconnectés?). Dans leur chambre, trône sur leur bureau leur précieux et irremplaçable micro (ou « PC » pour les intimes, ça veut dire la même chose!), souvent agrémenté de nombreux périphériques plus ou moins utiles (ça peut aller des enceintes, du scanner et de l’imprimante aux kits claviers-souris gamers rétroéclairés et autres lance-missiles USB).

Mais s’il y a bien un objet qui compose le bureau du geek et qui ne soit pas informatisé ou high tech chez nombre d’entre eux (si ce n’est le bureau lui-même!), c’est cet objet pourtant indispensable qui se trouve derrière lui: le fauteuil! Qu’à cela ne tienne, j’ai décidé de franchir le pas en équipant mon fauteuil du Homedics SBM-500H.



Source de l’image: NewHealthWeb.com

Pour ne rien vous cacher, je ne m’attendais pas à le garder longtemps après l’avoir testé: et pourtant, ce coussin masseur Homedics est très agréable et relaxant. Le coussin s’attache au fauteuil avec une bretelle qui fait le tour du dossier. Sa partie inférieure soulage les fesses des longues heures d’assise, et sa télécommande très ergonomique permet de piloter sans mal ses fonctions.



Le Homedics offre deux types de massages: Le shiatsu, qui consiste en un massage avec des boules qui longent de part et d’autre la colonne vertébrale en tournoyant, et le roller, qui consiste à faire passer un rouleau compresseur sur le dos. Si le premier se fait plus sentir que le second, le roller et quand même agréable en fin de séance. La partie supérieure du coussin ne fait que shiatsu, et sert à masser les épaules (ça fait mal!) ou la nuque.

Le coussin s’éteint tout seul au bout de 15 minutes de séance. Il est aussi possible de limiter le massage shiatsu ou roller à la moitié inférieure ou supérieure du dos, ou carrément de localiser le massage shiatsu à un niveau précis avec la télécommande. Cela est également possible avec la partie consacrée aux épaules. Une fonction permettant de chauffer les boules du massage shiatsu existe, mais dans la notice, son utilisation n’est pas recommandée plus de 3 minutes en cas de localisation du massage. Je n’ai personnellement pas perçu la différence avec cette fonction active, il s’agit donc pour moi d’une fonction qui fait plus de mal que de bien, et je ne m’en sers jamais de peur d’abîmer le coussin, dont il faut plus d’un massage relaxant pour oublier la facture salée!

Malgré la mauvaise réputation de ce genre d’accessoire en termes de fragilité, le Homedics a l’avantage d’être garanti 2 ans par le constructeur, ce qui est plutôt rassurant. Hormis la fonction chaleur que je qualifierais personnellement d’argument commercial, je reproche donc juste à ce coussin de ne pas être compatible avec les fauteuils dont le dossier est flexible vers l’arrière, comme celui de la photo ci-dessous: vous ne serrerez pas assez votre dos contre le coussin pour sentir le massage s’il se penche, et en casant le fauteuil contre un mur, celui-ci aura tendance à rouler vers l’avant lorsque vous appuierez votre dos sur le coussin, et vous vous sentirez obligé de faire un effort de retenue avec vos jambes, ce qui rend le massage nettement moins relaxant!



Source de l’image: Hellopro.fr

J’ai acheté ce coussin sur Amazon.fr vers mi-janvier au prix de 170€ environ. Mais son prix a été revu à la hausse depuis, et on le trouve plutôt dans les 190€ sur Internet actuellement. Malgré tout, je trouve franchement que c’est un investissement à ne pas regretter, et votre dos vous en remerciera, si vous le sollicitez autant qu’un geek assidu le ferait!

Note: 5/5

Avantages
Inconvénients
+ L’efficacité
+ La garantie constructeur de 2 ans
– Le prix un peu élevé
– La non compatibilité avec certains fauteuils