Avis sur H.A.W.X. 2 (PC)

Ce jeu de simulation de combat aérien (plus fun que réaliste) est un jeu très prenant. A commencer par ses graphismes qui, malgré la puissance de la plateforme sur laquelle je l’ai testé, sont littéralement à couper le souffle. L’emploi de l’imagerie du satellite GeoEye, dont l’éditeur ne manque pas de se vanter à plusieurs reprises, y est pour quelque chose: les textures des paysages, des reliefs montagneux et de l’eau, distants comme proches, sont au plus proche de la réalité. Les modèles des avions sont également modélisés sans reproche, et la bande son est très bonne à mon goût.


Source de l’image: Playstationlifestyle.net



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Les missions, elles, sont très variées: combat aérien bien sûr, mais parfois poursuite en vue satellite avec possibilité de tirer des modules de suivi GPS, sur une voiture par exemple, poursuite en gunship (comme la vue satellite mais en biais plutôt que verticale, avec armes de tir), et attaques terrestres avec divers bombardiers. Dans les missions, vous incarnez à tour de rôle deux pilotes: Alex Hunter de l’escadron H.A.W.X. pour les missions américaines et Dmitri Sokov de la Russian Air Force, côté russe. Les deux scénarios parallèles finissent par converger, mais je ne vous en dis pas plus!



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De manière générale, chaque mission se joue avec un appareil spécifique: Eurofighter, Rafale, A-10 Warthog, F-15 Eagle, F-18 Hornet, F-16 Falcon, Harrier et F-22 Raptor côté américain, et MiG-29 Fulcrum, Su-27 Flanker, Su-34 Fullback côté russe. Il est possible, une fois le jeu fini, de débloquer de nouveaux appareils dans un « hangar », en utilisant des jetons acquis en fonction de son score dans le jeu, puis de rejouer certaines missions du jeu avec certains appareils (je regrette énormément que toutes les combinaisons mission-appareil ne soient pas possibles).

Dans le jeu, il existe aussi un mode Survie, qui vous permet, avec l’appareil de votre choix parmi ceux que vous avez débloqués, d’affronter dix vagues de plusieurs dizaines d’appareils ennemis, de plus en plus intelligents. Le but est de « survivre aux dix vagues d’assaut », mais une mauvaise surprise vous attend à la fin: s’il reste (très difficilement) possible de survivre aux 10 vagues en évitant les pluies de missiles, y arriver en détruisant tous les adversaires qui se présentent relève de l’impossible: or, c’est précisément ce qui est demandé… lors de l’arrivée de la dernière vague d’ennemis! Sachant que le compte à rebours de chaque vague dure entre 3 et 10 minutes, ce n’était pas trop tôt pour le demander! De plus, avec toutes les manœuvres que vous effectuez, il y a fort à parier que vos yeux vous piqueront et que votre tête criera à la douleur dès la 5ème vague!

Parmi les appareils déblocables à la fin du jeu, on retrouve des avions très impressionnants (qui ne sont pas encore forcément opérationnels dans la vraie vie) comme le Su-37 Terminator, le Su-47 Berkut (très impressionnant avec ses ailes inversées vers l’avant!), le F-35 JSF ou encore le MiG-MFI (très puissant en combat aérien). Si je salue la présence de certains appareils que j’apprécie particulièrement (F-22 Raptor, F-117 Nighthawk, Su-27 Flanker, MiG-31 Foxhound, Su-25 Frogfoot – un excellent bombardier, mais très mauvais en combat aérien…) Je regrette quand même l’absence de certains appareils que j’aime bien comme le MiG-27 (bien que très proche du MiG-23, présent lui), le F-4 Phantom ou le F-5 Northrop.



Source de l’image: Geoeye.com

Mais ce que je regrette comme absence, c’est surtout les missions avec pilotage d’hélicoptères (Tiger, Apache, Comanche…etc.) et de gros bombardiers (B-2 Spirit, Tupolev 95 et 160…etc.) même si ce n’est pas la vocation de ce jeu. Autre point négatif: il arrive assez souvent, en mode mission, mais surtout en mode Survie, que votre avion soit équipé d’armes inadaptées à la mission, voire, qui ne servent à rien dans le contexte, au détriment d’autres armes qui auraient été plus utiles: l’usage de bombes en mode Survie est à proscrire par exemple, car les rares ennemis terrestres qui apparaîssent sont mobiles, ou le relief ne permet pas leur usage correctement. Il aurait donc été préferrable de donner au joueur des missiles à tête chercheuse.

De même, il arrive en mode Survie que votre avion soit équipé de bombes, totalement inefficaces contre les bâteaux (elles n’explosent pas dans l’eau). Or, il faudra bien les détruire pour gagner la mission. Ne comptez pas sur votre canon pour ça, leur blindage est trop puissant, et vous avez toutes vos chances de vous écraser ou de vous faire descendre avant de tous les détruire! Mais ce souci est à relativiser: en fait, chaque avion est livré avec des armes de base. Mais plus jouez avec dans les différents modes du jeu avec cet avion, plus vous gagnerez en expérience sur l’appareil. A partir d’un certain nombre de points d’expérience sur l’appareil en question (qui varie en fonction de l’appareil), vous aurez la possibilité de personnaliser ses armes et donc de remplacer le pack de base par des armes plus utiles en fonction du mode joué.

Il existe deux autres modes de jeu dont je n’ai pas parlé: le mode Arcade, qui permet de rejouer les missions du jeu avec plus de difficulté (canon seul, par exemple) – non testé car il ne m’intéresse pas vu la difficulté proposée, et le mode LAN pour jouer en réseau (il faut plusieurs licences du jeu, donc non testé).

Enfin, parlons des bugs, et ils sont nombreux: d’abord dans les missions, certains crashs (de votre avion, pas du jeu!), notamment dans des situations délicates (passage dans un tunnel obligé avec son avion, par exemple) sont souvent injustifiés: avion pourtant visuellement distant de la paroi et qui « explose en plein vol », ou de manière plus flagrante, un décor détruit qui ne disparaît pas assez vite (il n’est physiquement plus censé être présent, mais est retiré trop tard, ce qui force votre avion à s’écraser dedans – et oui, dans certaines situations, ça se joue à la milliseconde près!).

Quant au jeu en ligne, je vous lance un défi: celui non pas de réussir à gagner une partie en ligne, mais de réussir à en LANCER une! En effet, entre les messages d’erreurs sibyllins comme « La version de votre build ne correspond pas à celle du serveur » (et pourquoi diable ça ne marcherait pas quand même?) ou bien « La session n’est plus disponible » (alors qu’elle continue d’apparaître dans le tableau des sessions), les patchs de mise à jour du jeu totalement impossibles à installer (messages d’erreurs, jeu non détecté comme installé, autopatcher dont le téléchargement reste bloqué à 0%), le support Ubisoft aux abonnés absents et le forum U-Play très peu réactif (du moins pour la section H.A.W.X.), il y a fort à parier que vous aurez du pain sur la planche avant d’y arriver!

Dernier reproche: les précautions antipiratage d’Ubisoft, trop restrictives, voire carrément paranoïaques. En effet, le jeu exige une connexion permanente au serveur U-Play pour pouvoir jouer. En cas de coupure de connexion Internet, le jeu s’interrompt (et ne se relance pas, contrairement à ce qu’il signale, lors du rétablissement de la connexion). Et en cas de panne des serveurs d’Ubisoft, impossible de jouer (expérimenté durant 24 heures le lendemain de l’achat du jeu, ce qui m’a poussé à croire à un problème propre à mon jeu, avant de m’apercevoir que de très nombreux joueurs se plaignaient sur la page Facebook d’Ubisoft Support)! Malgré sa généralisation, je trouve ce système de protection vraiment énervant…

Conclusion
Bref, ce jeu H.A.W.X. 2 est très accrocheur, mais je lui reproche une durée de vie courte: si le premier accomplissement des missions du jeu permet de recevoir un bon paquet de jetons pour débloquer quelques appareils, en obtenir par la suite s’avère plus difficile: devant l’impossibilité de jouer en ligne et en réseau, il va falloir se débrouiller avec le rébarbatif mode Arcade ou le mode Survie (qui procure beaucoup moins de jetons) pour pouvoir débloquer le reste des appareils du jeu, ce qui demande de très nombreuses heures de jeu supplémentaires et répétitives.

Note: 4/5

Avantages
Inconvénients
+ Graphismes époustouflants
+ Bande-son
+ Variété des missions
+ Nombre d’avions proposés
– Les bugs empêchant le jeu en ligne, raccourcissant la durée de vie du jeu
– La difficulté trop poussée des modes Arcade et Survie
– Le choix des armes pas toujours adapté à la mission
– L’impossibilité de jouer sans connexion Internet

Plateforme de test
Intel Core 2 Quad Q8200 2,2 GHz
4 Go de mémoire vive
Carte graphique nVidia GeForce 8800 GT 512 Mo dédiés
Disque dur SSD Crucial M4 128 Go

Avis sur Acer Iconia Tab A501

« Quel pavé! ». Voilà la première réaction que vous aurez après la prise en main de cette Acer Iconia Tab. Mon modèle est le A501, c’est-à-dire le modèle incluant un emplacement pour carte SIM pour surfer en 3G, en plus du wifi.

Je ne pourrai peut-être pas être totalement objectif dans cet avis, ayant dès l’achat remplacé le système d’origine par un système officieux appelé « Taboonay » (développé par un français dont le pseudonyme est « Vache », que j’aimerais remercier par cette occasion). Ce système offre les accès « root » (équivalent du « jailbreak » sur iPhone, c’est-à-dire la possibilité de « tripoter » le système à son plus bas niveau – ce qui n’est pas sans risques, mais permet plus de choses, comme la sauvegarde du système tout entier en cas de souci majeur). En contrepartie, il n’est pas dit que tout ce qui est mentionné plus bas s’applique avec le système d’origine (dit « stock »), mais en général, c’est bien le cas.

Pour la partie matérielle, le design plait moyennement. La coque chromée est de bonne facture et agréable au toucher. Elle est même solide, puisque j’ai violemment fait tomber ma tablette sur un de ses coins sur un trottoir (sans faire exprès, evidemment!). La coque s’est légèrement tordue et fissurée, mais, vu la violence du coup, je n’aurais jamais cru que la tablette en sortirait indemne, pourtant le fonctionnement est resté impeccable! Adieu la garantie quand même, la housse Acer officielle n’ayant hélas pas pu empêcher cet incident à cause de la violence du choc (chute de 50 centimètres!).

Côté équipement, la tablette dispose d’un port micro-HDMI pour la connecter à la télé (pas testé), d’une prise secteur qui fait un peu vieux jeu (prise cylindrique et bloc secteur du style anciennes Sega, qui fait générer un bruit bizarre à la tablette quand l’écran est allumé et qu’elle est en charge!), d’un port pour son dock (vendu séparément – non testé), d’une sortie jack pour les casques/oreillettes, et d’un port USB host, qui ne s’avère utile qu’avec un Filer (application pour naviguer dans les dossiers de la tablette comme sous Windows), qui permet d’accéder au contenu du support USB. Derrière un long cache (difficile à enlever!), on trouve un port pour carte microSD (qui permet de porter la capacité – largement suffisante – de 16 Go de la tablette à 32 Go avec une carte de 16 Go – il me semble que les capacités supérieures ne sont pas supportées, à confirmer) et un emplacement pour carte SIM pour le modèle A501. Rien à regretter.
En sans fil, on retrouve les classiques wifi N, HSDPA (3G+) et Bluetooth (bonne qualité audio avec un casque Sony BT-101). Elle offre globalement de bonnes performances réseau, sauf en 3G où les coupures sont fréquentes (peut-être un problème lié à Taboonay ou à l’opérateur? – testé avec un abonnement SFR Internet Découverte).

Si l’appareil photo arrière est très agréablement surprenant (!), et la caméra frontale suffisante pour de la visio, le microphone, lui, semble poser problème avec Skype. Mes interlocuteurs se plaignent de « bruits d’entourage insupportables », même en environnement calme, qui semblent disparaître avec un autre appareil dans la même chambre. Curieux… Les hauts-parleurs, en revanche, sont de qualité correcte. Je regrette également la qualité du bouton d’alimentation (un comble!): il faut le maintenir enfoncé pendant plus de 5 secondes pour sentir la vibration d’allumage, et celui-ci est muni d’une LED blanche, qui clignotte en permanence. Du coup, je suis obligé de l’éteindre la nuit! Vraiment agaçant!
Son écran, lui, est très décevant: trop brillant et peu lumineux, il est totalement illisible au soleil. Cela va sans dire que sa grille est assez souvent visible en extérieur, ce qui lui confère un aspect « bas de gamme ».

S’il y a deux choses que je déplore dans cette tablette, ce sont son poids insupportable de 950g environ avec la housse officielle Acer (contre 750 pour l’iPad 1 avec sa housse Apple), ce qui rend sa consultation très fatigante pendant un trajet en transports en commun, surtout quand on est debout! De plus, j’aurais largement préféré un format 4/3 (comme l’iPad) au 16/9. Je ne la trouve ni pratique à utiliser en longueur, ni en largeur (je m’en sers plutôt en longueur, c’est-à-dire verticalement, surtout pour la lecture).
Côté système, je trouvais cette tablette originairement lente (saccade en basculant entre les bureaux, même peu chargés, un test souvent très représentatif), mais elle tenait la route dans les jeux (comme Angry Birds ou Raging Thunder II). Aujourd’hui je ne peux plus trop parler de ses vraies performances, car je l’ai artificiellement rendue plus performante avec le système officieux Taboonay (overclockée à 1,2 GHz contre 1 pour le système d’origine). A 1,2 GHz, la tablette est déjà presque parfaitement fluide. Mais cette opération est connue pour raccourcir la durée de vie de la tablette… à voir, donc.

En tant que grand fan d’Android sur mobile, je trouve tout de même iOS plus intéressant sur tablette. Honeycomb est… comment dire… un peu laid, peu intuitif et surtout pas adapté à la configuration du marché (souvent lent sur les tablettes actuelles). De mon point de vue, un processeur nVidia Tegra 2 à 1 GHz, configuration la plus répandue sur les tablettes Android actuelles, est largement insuffisante pour faire tourner Android Honeycomb. Attendez donc une (r)évolution avec l’arrivée prochaine de Android Ice Cream Sandwitch ou la sortie de matériel plus puissant avant de craquer!
Enfin, j’ai acheté la tablette Acer Iconia Tab A501 sur le site de SFR lors d’une très bonne promotion (200€ avec un abonnement sans engagement, qu’il était possible de résilier immédiatement). Mais de mon point de vue, elle ne mérite absolument pas ses 600€ de prix standard, un défaut majeur que partagent hélas toutes les tablettes Android concurrentes.

Conclusion
Aujourd’hui, je m’en sers notamment pour lire, jouer ou surfer sur le net dans les transports. Malgré ses nombreux défauts, je m’y suis quand même attaché, et je la préfère à mon iPad 1 question vitesse (après overclock!). Pour cet usage, 200€ ça va encore, mais à 600, je repasserai… Je vous conseillerais, pour le même prix, une tablette un peu moins… lourde!!!

Note: 3/5

Avantages
Inconvénients
+ Connectique
+ Qualité de l’appareil photo
+ Performances avec overclock
– Poids
– Qualité du chargeur
– Format 16/9
– Microphone défectueux

Avis sur ROM Criskelo pour Samsung Galaxy S2


Source de l’image et topic officiel de cette ROM Criskelo


N’ayant pas changé la ROM de mon Samsung Galaxy S2 depuis l’installation de l’excellentissime ROM XXKI3 (Gingerbread 2.3.5) de sicopat (développeur du forum galaxys2.fr) en septembre 2011, j’ai enfin décidé de foncer tête baissée sur la première ROM bien notée que je trouverais sur le forum XDA-Developers aujourd’hui, dans l’espoir de trouver une ROM sous Android Ice Cream Sandwitch 4.0, qui pour rappel est la prochaine mouture du célèbre système d’exploitation mobile de Google.

C’est alors que je suis tombé sur cette ROM de Criskelo. Bien que tournant sous Android Gingerbread 2.3.6, cette ROM dispose d’un thème ICS (Ice Cream Sandwitch), ce qui est suffisant pour me permettre de me familiariser avec l’interface de la future version d’Android.

Screenshots Criskelo ROM

Première déception à l’installation de cette ROM: elle est lente et saccade pas mal! Le délai entre la pression du bouton menu et l’action associée à celui-ci se compte parfois en secondes, ce qui est tout simplement catastrophique! Bien que l’interface soit un peu plus jolie (fenêtres en « relief », police lissée…etc.) que celle des ROM classiques sous Gingerbread, et que l’allumage du téléphone soit plus rapide, le temps de lancement des applications et d’extinction du mobile sont supérieurs à ceux des ROMs que j’ai précédemment testées, ce qui est, je trouve, très génant!

Immédiatement dégoûté, je voulais revenir en arrière en restaurant la ROM précédente depuis CWM (ClockWorkMod). Manque de bol, ce dernier refusait de lancer une restauration sous prétexte que le dossier correspondant aux sauvegardes des ROMs… était vide!? J’ai fini par m’apercevoir, en réinstallant la ROM de sicopat plus tard, que le problème venait de la version 5 de CWM qui accompagnait la ROM Criskelo, et qui refusait de « voir » la sauvegarde de la version 4 du fameux recovery.

Même avec le launcher GO Launcher EX, pourtant très performant, le défilement des icônes des applications était exécrable, ce qui rendait le launcher difficilement exploitable!

Mais le plus ennuyeux, c’est le problème de l’autonomie. En effet, cette ROM est étonamment très vorace en énergie, au point même de dévorer plus de 20% de batterie en moins d’une heure, avec les mêmes paramètres et applications que la ROM précédente, qui, elle, faisait beaucoup mieux! Et encore, il s’agit de la batterie 2000 mAh haute capacité de Samsung! Je n’ose pas imaginer ce que cela aurait donné avec la batterie d’origine! Un problème sûrement solvable, mais allez savoir comment trouver la source…

Enfin, ce qui m’a poussé, voire, obligé de la laisser tomber est le souci suivant: les applications Tâches et Mémos natives d’Android, ainsi que leurs données pourtant chères à mes yeux, ont été impossibles à restaurer avec Titanium Backup. Le logiciel se plantait en début de procédure ou recommandait un redémarrage… qui restait sans effet! Même souci avec la restauration des SMS, ce qui devient cette fois très ennuyeux!

Conclusion
Pour conclure, entre les performances à la traîne, la dévoration de la batterie à vitesse grand V et l’impossibilité de restaurer correctement ses données, le seul avantage que j’aie trouvé à cette ROM est la présence d’une interface ICS. Mais ça fait cher payé l’interface cache-misère…

Note: 1/5

Avantages
Inconvénients
+ Interface ICS – Performances
– Autonomie
– Problème de restauration des apps stock