Dropbox, OneDrive, hubiC et consorts – Quel service de stockage dans le cloud choisir ?

Mise à jour du 6 mai 2018

Il ne m’aura fallu que quelques jours de test pour m’apercevoir que pCloud n’est pas aussi rose qu’il n’en avait l’air.
Les problèmes techniques avec Windows sont assez nombreux ; lorsqu’on transfert beaucoup de données, il arrive que le PC freeze régulièrement par moments.
Le rafraîchissement des vignettes dans un dossier plein de photos sur le pCloud Drive, lui, est d’une lenteur extrême et occasionne également le problème ci-dessus.
Enfin, il arrive régulièrement que les débits se ralentissent comme pas possible, et que l’application « oublie » mes identifiants car « ma session a expiré ». Il faut donc se reloguer tous les quelques temps. Cela m’a tellement irrité, que je qualifierais désormais le gagnant de ce podium comme étant finalement Dropbox.

Ils s’appellent Dropbox, OneDrive, Amazon S3, hubiC, iCloud… ils sont tellement légion qu’on s’y perd. Qui sont-ils ? Les services de stockage de données en ligne.

Ils offrent tous une offre similaire : un espace de stockage sur un serveur à distance pour héberger vos données, un logiciel Windows pour synchroniser tout ce que vous mettez dans un certain dossier dédié à ce service avec le serveur automatiquement, ainsi qu’une appli mobile iOS et Android pour pouvoir, d’une part, accéder à ses données depuis ledit appareil, et d’autre part, pour synchroniser automatiquement sur le serveur vos fichiers multimédia pris avec le téléphone ou envoyés par un tiers.

Si l’informatique n’est pas de votre époque, vous vous demandez sûrement quelle est la plus value de ces services. En ce qui me concerne, cela peut m’être bien utile en cas de cambriolage, ou si je me fais voler mon téléphone. Dans une telle situation, je peux au moins accéder à mes données en ligne et les récupérer (veillez à modifier rapidement votre mot de passe, si vous vous retrouvez dans cette situation, afin d’éviter que la synchronisation ne détruise vos fichiers, si le voleur/cambrioleur se résout à supprimer manuellement vos fichiers de l’appareil initial).

Maintenant se pose la question duquel de ces services choisir. Pour moi, le choix se fera sur 3 plans : la stabilité logicielle et les débits, l’ergonomie, et… le prix.

Autre point qui compte pour moi : le choix du pays où sont stockées vos données. En effet, j’aurais beaucoup plus tendance à privilégier les services qui hébergent vos fichiers en dehors des États-Unis. Et pour cause : le Patriot Act permet au gouvernement américain de mettre la main sur vos données, sans aucune autorisation de votre part. Pas folichon.

Bref, ce n’est pas non-plus indispensable de faire ce choix, même si vous avez des choses à cacher : en effet, les États-Unis ont malgré tout une influence assez forte pour obliger, en théorie, n’importe quel hébergeur, où qu’il se situe dans le monde, à lui fournir lesdites données si réclamées. D’autre part, les dernières nouvelles font état du fait que le Patriot Act s’appliquerait aux données du monde entier. Pour résumer, tant que vous n’avez rien à cacher, tout va bien, mais sachez que c’est toujours les américains qui gagnent. 🙂

En tout cas, à travers les âges, ces services, j’en ai essayé un paquet.

Il y en a certains que je ne décrirai que très synthétiquement, car cela fait longtemps que je ne les ai pas testés. Et à vérifier s’ils n’ont pas évolué depuis.

Mes besoins:
– Quelques centaines de gigas de stockage (idéalement autour de 500 Go), pour héberger mes données les plus importantes.
– Un client mobile stable et rapide
– Un prix situé à maximum 50€/an, voire moins si possible
– Un truc hyper ergonomique
– Données hébergées en dehors des USA

1er – pCloud

Mise à jour du 29 avril 2018

Contrairement à ce que j’ai écrit, pCloud possède bel et bien un fonctionnement « à la Dropbox » : il s’agit de l’option « Synced Folders » qui se trouve dans l’onglet « Sync » des options.
Il permet de synchroniser un dossier local en choisissant le dossier de réception sur le serveur. Encore mieux que Dropbox. Encore un point en faveur de pCloud.

 

Dernier né des services de stockage en ligne, cet hébergeur suisse est le petit dernier qui monte, monte.

Créé en 2013, ce service offre un excellent équilibre entre ergonomie, stabilité et prix.

Contrairement à ses principaux concurrents, pCloud n’héberge pas sur le PC local les fichiers à synchroniser avec le serveur. Ceux-ci sont en effet déportés complètement sur le serveur, ce qui permet d’économiser de l’espace disque en local.

En contrepartie, si des fichiers sont effacés, ils sont stockés pendant quelques jours dans un dossier Poubelle sur le serveur. De quoi laisser le temps de les récupérer en cas d’erreur. Ingénieux.

Pour autant, certains voudront malgré tout, pour diverses raisons, conserver une copie des fichiers en local. Malheureusement, à l’heure actuelle, pCloud ne permet pas de basculer sur ce système plus classique. Pour ma part, ce fonctionnement me plaît, mais je comprends qu’il puisse ne pas plaîre à tout le monde.

L’appli Android fonctionne à merveille pour la synchronisation des fichiers multimédias, est réactive, stable, et offre de bons débits de transfert.

Les prix sont quasi identiques à la concurrence en termes de prix, à l’exception de hubiC : comptez un peu moins de 50€/an pour un stockage de 500 Go, là où Dropbox ne propose que le plan double au minimum (100€/an pour 1 To).

Pour ceux qui n’ont que faire d’1 To, ce genre de plan est plus adapté. Ce n’est pas forcément bon marché, mais le rapport qualité/prix reste imbattable. Les 10 Go gratuits (extensibles à 20 Go si on suit un certain nombre de recommendations), sont peu être confortables pour la majorité, mais un peu insuffisants de mon point de vue.

A savoir qu’à la différence de ses concurrents, pCloud propose un plan à vie pour 175€ pour 500 Go et 350€ pour 2 To, ce qui peut s’avérer rapidement rentable, pour qui a de la visibilité à long terme sur la pérennité de cette entreprise.

Pour finir, l’entreprise propose un dossier Crypto, avec chiffrage des données, en option payante.

2nd – Dropbox

Dropbox a longtemps été une référence en matière de stockage cloud, notamment autour des années 2012 à 2015, et avant que les offres concurrentes ne fleurissent.

Le véritable avantage de Dropbox demeure dans la stabilité inégalée de ses clients PC et mobile, ou la synchronisation se fait sans accrocs, avec des débits imbattables.
De plus, Dropbox s’intègre parfaitement à l’Explorateur de Windows, ce qui en fait un atout majeur.

Le seul bât qui blesse chez Dropbox, c’est son menu commercial : le plus petit plan payant de Dropbox se situe à 100€/an pour 1 To. Un plan médian à 50€/an pour 500 Go n’aurait pas été superflu pour ceux qui n’ont pas besoin de 1000 Go, tandis que les 5 Go de la version gratuite sont carrément pingres.

3e – hubiC

L’offre de l’hébergeur français OVH a au moins un point clair : ses fichiers sont hébergés sur ses data centers en France. Pour qui est allergique aux griffes de la NSA américaine, c’est un point qui peut pencher en sa faveur.

Pour avoir utilisé hubiC pendant plus d’un an, j’ai surtout constaté des problèmes de lenteur de débits et d’instabilités des clients PC et mobile ; la synchronisation mobile ne se fait pas toujours, tandis que sur PC, les messages d’indisponibilité du service sont assez fréquents.

En revanche, hubiC offre des plans tarifaires imbattables : 10€/an pour 100 Go, et… 10 To pour 50€/an ! Carrément !
Ce qui est regrettable, c’est que tous les plans intermédiaires ont disparu… dommage, pour qui n’a pas besoin de tant d’espace et souhaite juste étendre de peu ses 100 Go pour quelques euros de plus.

J’aurais volontiers gardé hubiC, si ses débits étaient plus rapides (essentiel pour stocker 10 To !), son interface web moins austère, et son client mobile un peu plus réactif.

4e – MEGA

L’hébergeur néo-zélandais fondé par Kim Dotcom après les déboires de Megaupload avec la justice américaine est en perte de vitesse : des débits très insatisfaisants, et une interface web un peu trop usine à gaz gâchent le plaisir d’utilisation de cet hébergeur.

Bon point : grand rebelle contre la mainmise américaine du web, Kim Dotcom promet que MEGA n’a pas ses serveur hébergés aux USA. C’est tout ce qu’on en sait…
De plus, MEGA garantit que toutes les données stockées chez lui sont chiffrées. De quoi donner – en théorie – du fil à retordre aux autorités qui chercheraient à les acquérir.

Quant aux prix, ils sont loin d’être compétitifs : comptez 60€/an pour 200 Go minimum, et 120€/an pour 1 To. Autant aller voir ailleurs…

Les hors classement – iCloud, Google Drive et OneDrive

Je ne me suis pas beaucoup attardé sur ces 3 hébergeurs, du fait qu’ils hébergent clairement leurs données aux USA.

Mais surtout, parce qu’ils répondent peu aux besoins que j’ai évoqués en début d’article : iCloud est incompréhensible ; lorsqu’on installe le client sur le PC hôte, on n’a pas accès à un dossier pour synchroniser ses données. Malgré des recherches sur le web, je n’ai pas réussi à comprendre pourquoi…

iCloud sert surtout à synchroniser des données multimédia et d’applications iOS entre les différentes machines utilisant le système mobile d’Apple.
En revanche, tout ce qui sort de ce cadre est beaucoup plus compliqué à synchroniser avec (voire impossible) ?

Google Drive, quant à lui, a des plans tarifaires qui ne me conviennent pas : 24€/mois pour 100 Go (capacité trop faible) et 120€/mois pour 1 To (surdimensionné pour moi). Un plan intermédiaire aurait été fort appréciable.

Quant à OneDrive, je me rappelle surtout que c’est le champion des instabilités logicielles, autant sur PC que sur mobile. Débits lents, synchronisations aléatoires et client mobile lourdingue… du Microsoft en beauté !

Si je teste d’autres services, je viendrai les ajouter à cet article. Pour le moment, celui que j’ai retenu est pCloud. Je pense, s’il me satisfait, investir dans un des plans à vie proposés, sauf si un concurrent lance une offre plus intéressante.

Et vous, lequel de ces services utilisez-vous ? En avez-vous un à recommander ?

Cet article est paru en premier sur le blog Chartouni.fr

Google Home: un assistant aux capacités limitées…

 

 


 

 

Google Home est une espèce de petite enceinte équipée d’un micro, qui se veut être la promesse d’être un majordome vocal pour piloter les équipements « high tech » de votre appartement. Il est également censé pouvoir vous servir d’assistant d’organisation, avec les services Google (agenda, météo…etc.).

Pour ne pas tourner autour du pot, si jusque-là vous étiez sceptique vis-à-vis des assistants vocaux de votre téléphone (Google Now, Siri, Bixby, Cortana…etc.), à priori ce Google Home, qui se veut un assistant similaire, ne devrait pas trop vous faire changer d’avis.

A savoir déjà que l’outil est plus efficace dans la reconnaissance de commandes en anglais qu’en français. Si vous êtes allergique à la langue de Shakespeare, l’intérêt de ce type d’appareil risque d’être encore plus limité pour vous.

En ce qui me concerne, je l’ai surtout testé en anglais. Voici ce que j’avais prévu de faire avec, et le résultat:

 

Test
Résultat
Note
Allumer la TV Avec la commande, « Ok Google, turn on/off TV », cela est efficace, pour peu que vous ayez un Chromecast (à 40€ sur Cdiscount), connecté à la TV. Test réussi !

10/10

 

 

Piloter les lampes de la maison Pour ce faire, j’avais pour projet de faire interagir le Google Home avec ma centrale Philips Hue. Les ampoules Philips Hue sont des ampoules high tech connectées à une centrale, elle-même connectée au réseau local de l’appartement, et peut être accessible depuis Internet. Elle permet, via une appli mobile, d’allumer, éteindre ou changer la couleur des ampoules de l’appartement.  

En pratique, cela fonctionne bien avec des commandes du type « Ok Google, entrance/lounge/bathroom on/off » et « Ok Google, turn all lights on/to blue…etc. ». Les lampes prennent la couleur demandée… sauf quand il s’agit de les ramener au blanc par défaut ; la commande « Ok Google, turn entrance/lounge/bathroom to white » est bien acceptée par l’appareil, mais le changement de couleur ne se fait pas !?

Aussi, ce test a également « mis en lumière », si je puis jouer sur les mots, une des faiblesses principales de cet appareil : sa surdité ! En effet, il suffit d’être à un mètre de l’appareil dans une pièce voisine, même avec la porte grande ouverte, pour que l’appareil ne tienne pas compte de votre commande, même en hurlant !

Paradoxalement, à 3 mètres dans une même pièce, l’appareil entend très bien… c’est d’autant plus étrange que mon apparement étant peu meublé, la voix s’y propage de manière efficace. Un problème aussi aléatoire que frustrant, qui m’oblige à revenir au salon pour donner des commandes vocales.

6/10
Programmer un réveil/mon agenda, demander la météo…etc. Tous ces petits tests ont fonctionné sans accrocs, mais là j’ai envie de dire encore heureux, c’est le minimum syndical.
Il faut juste penser à paramétrer les métriques dans l’appli Google du téléphone à quelque chose de compréhensible (dégrés Celcius ou lieu des Fahrenheits, kilomètres au lieu des miles…) et s’accrocher pour comprendre la réponse sur la météo et l’horoscope (il parle vachement vite en anglais!).
9/10
Demander la diffusion de Chrome sur PC sur la TV Pas possible, ou alors, je n’ai pas trouvé le moyen de le faire.
Il n’est malheureusement pas possible de demander à Google Home de diffuser l’écran de votre PC sur la Chromecast automatiquement. Il faut faire cette manipulation manuellement depuis le PC. Dommage…

0/10

 

 

Changer de chaîne ou de source TV J’aurais voulu que mon Google Home soit capable, via la Chromecast de switcher l’entrée de la TV, pour passer à la Livebox, par exemple. Malheureusement, il s’avère que cela n’est pas possible… vraiment dommage !

0/10

 

 

Allumer et éteindre des équipements (PS4/Xbox, ventilateurs…etc.) Tout comme changer de canal/source TV, allumer sa PS4 branchée à la TV avec Google Home n’est pas possible. Tout du moins, pas sans une manipulation technique avancée, avec d’autres équipements en intermédiaire (Raspberry Pi, Harmony Hub…etc. – sujet auquel je ne me suis pas intéressé).  

Pour les appareils de l’appartement comme des ventilateurs, en théorie, il est possible de commander des prises électriques qui s’allument/s’éteignent avec Google Home, comme celui-ci pour moins de 20€ sur Amazon (non testé).

En pratique, cela ne m’intéresse pas : Je mets ma PS4 en mode veille. Et je ne suis pas sûr que l’alimenter suffise à l’allumer. De même pour mes modèles de ventilateurs. En gros, retenez que cette solution existe, mais n’est pas adaptée à mes exemples.

1/10
Diffuser de la musique avec Deezer Il est possible de lier un compte Deezer pour pouvoir diffuser sa musique sur Google Home. A noter que le haut parleur est puissant et de bonne facture, du moins pour un non mélomane comme moi. Pour en profiter pleinement, il faut évidemment avoir un abonnement Deezer Premium, ce qui est mon cas.  

Si je demande à Google Home de diffuser une de mes playlists, cela fonctionne, mais je n’ai pas trouvé le moyen de lui demander les morceaux en mode aléatoire.
Cependant, lorsque je demande un morceau en particulier, ça se gâte : ça ne fonctionne que dans 50% de mes essais (Message « nom_du_morceau is either unavailable or cannot be played »).

De plus, lorsqu’il prend une commande, il me demande « si je souhaite jouer le morceau sur Chromecast » (au lieu de l’appareil lui-même). Si je réponds non, la plupart du temps, l’appareil « ignore » la commande. Et il faut redemander son morceau !

Autre bug : je me suis aperçu qu’envoyer un message Whatsapp depuis mon téléphone, fait interrompre la lecture de musique sur le Google Home ! Aller savoir pourquoi…

3/10
Note finale
29/70

Au final, ce Google Home répond à peu près à la moitié de mes besoins. Mais pour être honnête, je ne m’attendais pas à une révolution, par rapport aux assistants vocaux des smartphones, eux-mêmes déjà très limités en termes d’intelligence et de possibilités.

Ce Google Home est donc une « matérialisation » de l’assistant vocal Google Now sur Android, qui peut avoir un quelque intérêt si vous possédez une Chromecast et une centrale Philips Hue. Et si vous acceptez d’investir dans plusieurs appareils si vous possédez plusieurs pièces, pour pallier au problème de surdité de l’appareil ; il existe en effet une petite version du Google Home, le Google Home Mini à environ 60€ sur Cdiscount contre 150 pour le « grand »), ce qui revient quand même cher, par rapport aux capacités limitées de l’appareil aujourd’hui.

S’agissant de Google, il reste à espérer que des mises à jour viennent améliorer les fonctionnalités au fil du temps…

Pour finir, voici une petite vidéo de démonstration:

Note: 2/5

Avantages
Inconvénients
+ La possibilité de piloter les ampoules Philips Hue et la TV (grâce à la Chromecast), si on ferme les yeux sur quelques bugs – Le microphone peu efficace de pièce à pièce
– Le « bug » de remise à blanc des Philips Hue
– Les nombreux bugs de lecture de musique avec Deezer
– L’impossibilité de demander des diffusions depuis son PC fixe
– Le rapport qualité/prix assez mauvais, au regard des fonctionnalités limitées de l’appareil

 

Shoop : le cashback qui ne valide pas les grosses sommes



 
Les services de Cashback sur le net sont devenus légion.

Il s’agit de sites sur lesquels vous vous inscrivez, puis vous téléchargez une extension pour navigateur Internet.

Dès que vous réalisez un achat, si le site sur lequel vous achetez est partenaire de votre organisme de cashback, l’extension de cashback vous en avertit et vous pouvez l’activer, pour obtenir une faible ristourne sur votre compte cashback, qui dépend du montant de la transaction.

Un des plus connus de ces organismes est Shoop, partenaire du fameux site que je cite (sic!) souvent sur ce blog: Dealabs.

Dans la pratique, il est à éviter: comme vous pouvez le constater ci-dessous, ils ne valident jamais les transactions significatives (et se donnent le droit d’en refuser d’autres, sans justification) :

Mon bonus Dealabs est sans réponse depuis Octobre 2016, tandis que mes 67€ d’inscription chez Hello Bank ont déjà dépassé les 3 mois de validation.

Si je l’avais su, je me serais sûrement inscrit chez un service concurrent.

Ma première interpellation de Shoop sur Twitter a été infructueuse. Tout comme la seconde et mes mails au service client…

Note: 0/5

Avantages
Inconvénients
+ Aucun – Le non remboursement des sommes significatives
– Le service client aux abonnés absents